Le mot de la fin

L'image de la girafe que nous venons de présenter, vue à travers le prisme forcément réducteur de la collection, est, de facto, incomplète. A ceux qui souhaiteraient élargir leur connaissance sur le sujet ou prolonger le débat sur l'animalité, nous proposons en annexe, en guise d'orientation bibliographique, quelques titres de publications que nos recherches nous ont amenée à consulter. D'autre part, en 1984, une exposition a été consacrée à la girafe de Charles X par le Musée de l'Ile-de-France, à Sceaux ; un catalogue a été publié à cette occasion.
Enfin, nous ne saurions trop recommander aux sympathisants anciens ou nouveaux de la girafe de se référer aux travaux de Thierry Buquet, sur son site www.girafes.net . Nous lui devons un important tribut et avons plaisir à le remercier pour son sympathique encouragement.
Si, depuis longtemps, elle ne draine plus les foules, force est de constater que la girafe a su conserver en France la sympathie du public acquise dès sa "découverte" en 1827 : sa cote de popularité jamais démentie fait qu'aujourd'hui encore son image est non seulement régulièrement utilisée dans la publicité, mais qu'elle a même atteint le statut d'icône des nurseries sous la forme d'un célèbre jouet en caoutchouc. Par ailleurs, dans toute cette complexité philologique et physionomique que nous venons de survoler, la science moderne n'a pas vraiment tranchée puisque le nom savant désormais adopté dans la nomenclature internationale pour désigner le gracieux animal est giraffa camelopardalis…
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