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Res publica
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150925
Paris Métropole - Bilan de la concertation VF
mode d'habiter. Pourquoi toujours avoir des bâtiments plus ou moins rectangle et des appartements standards? Je pense qu'avec les nouvelles
technologies et surtout les initiatives de certain, nous pouvons innover dans la manière d'habiter. /
Faire un diagnostic de l'habitat sur le territoire.
Evaluation des besoins. Quelles sont les réponses que peut apporter la Métropole sur les formes d'habitat
(densité verticale-horizontale), habitat
individuel.
Avec par exemple une plus grande mixité fonctionnelle dans les quartiers d’affaires voir à l’échelle de l’immeuble et la transformation des
tours de bureaux en logements :
Qu'elle mixe davantage les habitants et les tours de bureau. / Mixer lieu de travail, ravitaillement et habitat. Et ne pas juxtaposer des zones dédiées.
Pourquoi ne pas mettre dans un même immeuble tout cela
: Rez-de-chaussée pour les activités du secondaire, 2 premiers étages pour le tertiaire et
au-dessus pour l'habitat. /
Haro sur le tout bureau !
Tours mixtes de logements, espaces communs de type réception ou buanderie, bureaux, services
(médecins, garde d'enfants, accompagnement de personnes âgées...) / Des quartiers comme la Défense ou bientôt comme Balard qui ne cherchent qu'à
attirer des entreprises, mais qui se vident le soir de leurs habitants ne me semblent pas la bonne démarche pour produire la ville.
On devrait viser la
cohabitation du métropolitain parisien avec les entreprises
et l'ouverture des "sites économiques" aux habitants du quartier qui les intègre. Je trouve
que les travaux qui sont faits en ce moment au Parc des Expositions de la Porte de Versailles (où on construit des jardins partagés et des parcours de
santé en parallèle avec les centres de conférence) sont un bon exemple de symbiose entre la vie du quartier-local et le quartier qui participe à la
concurrence internationale. », « Répondre à la question du logement par reconversion de bureaux. / Transformer les bureaux, les immeubles vides en
logements. /
Transformer des bureaux inutilisés en logements de tous niveaux d'accession.
3.2.5. Limiter les effets pervers sur le coût de l’habitat
S’assurer que la création de la MGP (mais aussi du GPE) ne génère pas d’effets pervers en matière de coût de l’habitat.
Les participants craignent l’impact de la création de la MGP sur la spéculation immobilière :
Forte augmentation des loyers et prix de l'immobilier dans les secteurs ou ces projets seront construits, grand classique. / Augmentation des loyers en
banlieue comme à Paris. / Eviter que la Métropole entraîne une explosion des loyers et de la valeur immobilière. / Spéculation immobilière. Arrêter de
densifier à nouveau une Région qui est déjà très dense, même si le principal problème sera le prix du foncier. »
Ils demandant à ce que cette dimension soit prise en compte dans la réflexion sur la création de nouveaux logements :
Ne pas créer des disparités, faites du foncier --> contrôle public des prix du foncier et du logement. /
Gérer les prix de l'immobilier de manière à ce
que les habitants ne soient pas obligés d'habiter loin du centre.
/ Avant la crise (de 2007), il y avait beaucoup de construction de logement. Et les
prix de vente ne baissaient pas. Depuis la crise et une moindre construction, ils baissent un peu. D'où je conclu qu'en Île-de-France, le prix du logement
n'est pas dû à un problème d'offre... (De répartition spatiale, de spéculation...). / Il faut éviter l'éloignement des populations pauvres ou modestes du
centre de la Métropole, à l'image de ce qui s'est passé à Paris avec la spéculation immobilière. Cela signifie une volonté politique de contrôle des loyers
et des prix du foncier. / Des loyers moins chers, mais aussi plafonner les loyers dans toutes les villes. donnant lieu à des logements à coût modéré et de
qualité. / Avoir la liberté d'habiter là où j'ai envie. Une assurance de logement pour payer le logement. / Une nouvelle pratique de l'aménagement du