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La baignade

est aussi très

recherchée

depuis qu’elle est

interdite à Paris.

Les communes

prennent

des arrêtés

pour obliger

les baigneurs

à se vêtir

« les hommes

d’un caleçon,

les dames d’un

costume de bain ».

Malgré la pollution

croissante, la Seine

reste un espace

de nettoyage :

des habits avec

les bateaux-lavoirs

où les lavandières

continuent à traiter

les énormes

masses de linge

sale générées

par la capitale,

des corps avec

les nombreux

bains publics

flottants amarrés

aux berges.

Les peintres

impressionnistes

capturent de belles

lumières sur

les bords de Seine.

Alfred Sisley

s’installe à Sèvres

de 1877 à 1880.

Cet artiste délicat

que « la nature

enchante » profite

des paysages

de la boucle

de la Seine

pour peindre

ses confrontations

de ciel et d’eau

dont il a le secret.

C’est l’âge d’or du

bateau-mouche :

dans les années

1890, il transporte

chaque année

25 millions

de passagers

au prix en semaine

de « dix centimes

pour parcourir

douze kilomètres;

on ne saurait

à moins.

Ce tarif est doublé

le dimanche,

et bien

des gens crient

à l’exploitation.

Ils accusent

la compagnie

d’oublier d’être

populaire quand

elle imagine cette

majoration

qui grève les

plaisirs du pauvre

peuple le jour

où il va,

par hygiène,

respirer l’air

des champs

limitrophes ».

La Seine

canaLiSée

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Fin 19

e

SiècLe