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La population

parisienne

augmente ainsi

que son linge

à laver :

des dizaines

de milliers

de lavandières

et blanchisseuses

font chaque jour

l’aller-retour entre

les clients de

la capitale et leurs

bateaux-lavoirs.

3 allers-retours

par jour.

Les prix se font

plus abordables

et les Parisiens

sont plus

nombreux

à pouvoir rejoindre

facilement et plus

agréablement

les lieux de détente

et de loisirs

qui se multiplient

sur les berges

plus en aval.

Les travaux de

canalisation

commencent après

le vote de la loi

du 19 juillet 1837

« pour le

perfectionnement

général de

la navigation » :

on réunit les îles

entre elles par

des digues,

on crée

de nouvelles

écluses (Suresnes,

Bougival,

Andrésy…),

on reconstruit

les ponts.

La vieille ligne

transportant

les voyageurs

du Pont Royal

à Paris jusqu’à

Sèvres et Saint-

Cloud passe

à la vapeur

en 1829 et

compte alors

L’industrialisation,

la vapeur

et l’urbanisation

menacent

les activités

traditionnelles

liées au fleuve :

viviers

palefreniers

(halage),

chantiers de

déchirage

(démolition

des vieux navires

en bois) se font

plus rares.

début 19

e

SiècLe

La Seine

à toute Vapeur

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