Paris le ventre un
peu vide : par ordre
du roi, cabaretiers
et hôteliers avaient
interdiction de
s’installer plus près
que Suresnes.
Vues aérienne
et frontale
du Mont Valérien
au XVIII
e
siècle
lorsque l’ermitage
devient un lieu
de pèlerinage
très apprécié
des Parisiens.
Devant
l’église consacrée
en 1700,
les 3 croix du
calvaire
« à l’image de celui
de la Judée »
qui vont assurer
la popularité
du lieu ainsi
que le morceau
de la vraie croix
transféré dans
l’église vers 1706.
Autour,
les bâtiments
abritant les prêtres
de la Confrérie de
la Croix,
un verger,
les cellules des
ermites.
En dessous,
sur la pente
descendant
vers Suresnes,
des escaliers et
des chapelles
rappelant chacune
un épisode de la
Passion du Christ.
Après avoir
gravi le mont,
les pèlerins du
XVIII
e
siècle
allaient d’abord
assister à la messe
dans l’église.
Puis venait la visite
des chapelles dans
l’ordre des stations
de la Passion du
Christ.
Retour ensuite
à l’église pour une
dernière messe
avant le retour à
3
4
1
2
3
4
5
6
7
8
9
5
6
7
8
9