Des « pas de
cavaliers »
permettent
à ceux-ci
d’intervenir
rapidement.
Des bastions
avancés ont
été aménagés
au-delà
des fossés,
notamment
devant
l’entrée principale
et son corps
de garde.
Préfiguration de
son rôle en matière
de transmissions,
une seconde tour
de télégraphe
Chappe
a été installée en
1840 et le
colombier militaire
permettra pendant
le siège de
communiquer
avec la capitale
grâce à ses
nombreux pigeons
voyageurs.
a été remodelé
en pavillon
des officiers.
Autres restes
épargnés par les
militaires :
le château de
Forbin-Janson
et sa chapelle
au sud-ouest,
les cimetières
au sud-est.
Pour alimenter
les canons,
les magasins
à poudre
dont l’un est
semi-enterré.
Une voie ferrée
permet aux
artilleurs de
déplacer leurs
canons et
les casemates
réparties
tout au long
des talus
les abritent
en cas d’attaque.
Le sommet
est constitué
par la vaste cour
du plateau
entourée de
deux casernes
à toit plat
(pour alimenter
en eau de pluie
des citernes
creusées en
dessous)
et d’une
longue salle
d’armes.
Tout autour,
de nombreux
baraquements,
dépôts et
magasins pour
assurer le
fonctionnement
d’une garnison de
près de 3400
hommes.
Le bâtiment pris
aux Pères
de la Miséricorde
en 1830
et entraînera
la capitulation,
les canons du Mont
Valérien tireront
10 130 obus. Entre
temps, le 13 octobre
1870, le château de
Saint-Cloud tenu par
les Allemands est
détruit par ces mêmes
canons…
Après une courte
occupation allemande,
le Mont Valérien
en tirera 15 596
de plus sur Paris cette
fois, lors des combats
d’avril et mai contre la
Commune.
C’est le 22
septembre 1870
que le fort tire
ses premiers coups
de canon sur
les Prussiens.
Jusqu’à la bataille
de Buzenval qui
se déroulera
directement sous
leur feu le
19 janvier
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La forteresse à la fin
septembre 5;:4 au
début du siège de Paris