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©CG92/WillyLabre
Chapelle Saint-
Germain-Saint-Loup
donnant sur la
première travée de la
nef ; scènes de la vie
des deux évêques,
(Joseph Radan, 1935).
LES ACTEURS DE LA RESTAURATION
La décision de rénovation de la cathédrale a été prise par l’évêque, Mgr Gérard Daucourt, et soutenue par son diocèse.
Le Père Franck Javary étant le curé de Sainte-Geneviève.
Les architectes, de renommée internationale, Jean-Marie Duthilleul (il a participé, entre autres, à la création du musée de
Pékin, à la rénovation de Notre-Dame de Paris…), et Benoît Ferré, spécialiste de l’ordonnancement des chœurs d’édifices
religieux, ont été chargés de la rénovation. Marie-Lys de Castelbajac, habituée à des restaurations prestigieuses
(Malmaison, Collège des Bernardins, cathédrale de Reims, hôtel de la Païva…), a restauré les fresques et créé trois
nouvelles peintures murales dans la première travée de la nef restée vierge jusqu’à présent.
Le montant des travaux pour cette cathédrale,
inscrite en totalité aux Monuments historiques
depuis 2010, (clocher XIII
e
siècle. Corps du bâti-
ment 1925-1935), s’élève à plus de cinq millions
d’euros. Diocèse : trois millions (notamment par
des legs et dons). Ville de Nanterre : 1,9 millions.
Le conseil général des Hauts-de-Seine a alloué
500 000 € au diocèse, pour la restauration, et
166 525 € à la mairie de Nanterre, pour la
restauration des fresques.
©CG92/Jean-LucDolmaire
Lors de l’inauguration de la cathédrale rénovée,
le EJ septembre dernier :
Mgr Gérard Daucourt,
évêque de Nanterre, (à droite) en compagnie de
Patrick Jarry, maire de Nanterre, (à gauche), et
Patrick Devedjian. Pour le président du conseil
général des Hauts-de-Seine :
« Sainte-Geneviève
s’inscrit désormais comme un passage obligé de
cette Vallée de la Culture qui structure les
éléments patrimoniaux remarquables des Hauts-
de-Seine »
.
Grands anges traités à la
façon de statues-colonnes,
situés au centre de la
procession des reliques de
sainte Geneviève,
(Paul Lemasson, 1928),
bras gauche du transept.
