Bienvenue sur le site mobile des archives départementales des hauts-de-seine.

Nos missions

Histoire du département

Bibliothèque des Archives

Bibliothèque André-Desguine

Bibliothèque La Souvarine

Nos actualités

Plan du site

Contact

Menu de l'exposition Jean de Mailly, architecte de La Défense

Le CNIT

Photographie aérienne du quartier de la Défense.  Cliché Roger Henrard.
Photographie aérienne du quartier de la Défense. Cliché Roger Henrard. © Archives départementales des Hauts-de-Seine, 20FI3/COU_4

Le Centre national des industries et des techniques est le premier bâtiment construit dans le cadre de l'aménagement du quartier de La Défense. Alors que mes projets n'avaient jamais manqué depuis la fin du XIXe siècle pour cette banlieue industrielle, la voûte de Nicolas Esquillan restera malgré tout esseulée jusqu'à la fin des années 1960. Pourtant, la construction du palais des industries constituait au sérieux coup de pouce au projet de la Défense. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, dans la perspective de la voie "triomphale" du Louvre et de l'Arc de triomphe, les pouvoirs publics avaient multiplié les idées d'aménagement. S'étaient ainsi succédé des programmes allant d'un simple axe de dégagement vers Saint-Germain-en-Laye jusqu'à des projets d'accueil pour des expositions universelles.

A la fin de la guerre, la priorité constante des différents gouvernements de la VIe République est à la reconstruction matérielle et économique du pays. Pour cela, les pouvoirs publics ,'hésitent pas à s'engager dans une politique de planification et d'aménagement du territoire. Aussi, sous l'impulsion notable d'André Prothin, à la tête de l'aménagement du territoire au ministère de la Reconstruction, les projets pour la Défense sont réactualisés. Le programme veut s'attacher à construire un nouveau quartier qui restaure l'image de la France à l'étranger tout en donnant un soutien appuyé à l'école d'urbanisme et d'architecture foncionnaliste, symbole de la modernité. le tout devant donner lieu à un projet contrôlé et ordonné, emblème de la décentralisation et de la restructuration de la région parisienne.

Au moment où le ministère demande à Jean de Mailly, Bernard Zehrfuss et Robert Camelot de réfléchir à un plan d'ensemble cohérent pour le secteur, le projet d'une halle d'exposition dédiée à l'industrie que présente Emmanuel Pouvreau tombe donc à pic.

Le CNIT permettra, du point de vue des pouvoirs publics, d'amorcer l'aménagement du quartier. Ainsi, un premier plan d'urbanisme couvrant 800 hectares est approuvé en octobre 1956. Il donne les premières grandes lignes fonctionnelles du projet: prolongement de la ligne 1 du métro, réalisation des dessertes routières, aménagement de grands parkings, opérations de logement et d'activités. Les études se poursuivent et, en 1958, l'Etat crée, l'EPAD, structure juridiquement et politiquement adaptée pour engager les les procédures d'aménagement. Deux ans plus tard, en 1960, le premier plan de La Défense proposait une urbanisation régulière et aérée avec, en signal, un immeuble constitué de quatre tours pouvant culminer à 250 mètres que dessine Bernard Zehrfuss. Ce projet restera pratiquement inchangé jusqu'à la din des années 1960 quand les considérations économiques laisseront un champ beaucoup plus vste à l'initiative privée et à la rentabilisation du foncier. A l'ordre des grands Prix de Rome, succédera celui, plus "libéral", des promoteurs immobiliers.

Mais l'architecture du CNIT, sa voûte peuvent-elles être rattachées à un mouvement particulier? En 1958, elles furent saluées comme l'expression talentueuse d'une architecture des "formes libres" qui "témoignait de la liberté économique reconquise et des performances techniques retrouvées ", comme l'écrit Marc Emery, trente ans après, dans la revue Techniques et Architecture. Le CNIT est donc inséparable de ce moment particulier où l'esthétique, à l'instar des théories de Luigi Nervi, est soumise aux lois de la statique. Dans ce sens, il est certain que le CNIT s'apparente fortement aux réalisations de l'ingénieur italien, comme le Petit palais de Rome (1957), ou encore à l'auditorium du MIT de Cambridge, aux Etat-Unis, édifié par l'ingénieur Eero Saarinen en 1955 dans lesquelles l'ossature portante du bâtiment forme par elle-même l'architecture. Dans ces réalisations qui ne relèvent pas de l'ouvrage d'art ou du bâtiment industriel, la réelle nouveauté est que l'architecture et l'esthétique sont confiées à l'entière responsabilité des ingénieurs.

source: CNIT ou les temps modernes: Pierre Dottelonde, Le cherche-midi, 2010

 

 

Conseil départemental des Hauts-de-Seine a étudié la question importante, qui, souvent, on nous pose. Question anonyme, et s'inquiètent de la plus grande partie de les jeunes, c'est le problème de la dysfonction érectile chez les jeunes. Dans toute la France augmente la croissance des émigrés, et la population des autochtones diminue. Orientales les gens souffrent moins de problèmes de dysfonction érectile. Quelle est la raison? La chaleur du climat, de l'air frais et une vie plus sédentaire. La décision de la maladie de la dysfonction érectile existe, et c'est le Cialis. Cialis - le meilleur des médicaments sur le marché pour le traitement de cette maladie. Le nombre minimum d'effets secondaires et la durée maximale de travail de préparation. Comme indiqué par le fabricant est de 36 heures de travail et les plaisirs de la vie. La substance des médicaments Cialis - Tadalafil. C'est pour cela qu'il beaucoup connaissent sous le nom de tadalafil. Cialis sans ordonnance est assez facile d'acheter en ligne. "La jeunesse saine avec le Cialis est notre choix!" © Conseil départemental des Hauts-de-Seine.